Les Forums et les sites de partages de connaissances évoluent dans un milieu flou où leurs statut est ambiguë et encore aujourd'hui mal définie. En effet, ces sites sont des espaces internet qui permettent au personnes de dialoguer, d'échanger point de vue et renseignement de manière totalement libre mais quel sont leurs véritable statut? Et quel sont leurs intérêt Ou leur limites?

Ils questionnent sur leurs statut et leurs véritable possibilité.

Lorsqu'on essai de définir le statut des sites d'échanges de connaissance, Forum ou autre, on se heurte à un curieux dilemme.

En effet, d'un premier abord, nous sommes tenter de dire qu'ils relèvent du domaine privé puisque l'on peut y accéder chez soit, bien confortablement assis derrière son écran personnel, anonyme et privé. On est seul devant notre ordinateur et nous seul décidons ce que nous allons regarder, rechercher, ou écrire.

 Parallèlement à cela, force est de constater qu' étymologiquement, Forum désigne, dans sa forme latine, un espace dans la cité qui est dédié à la discussion. Il est donc, par définition public. Même s'il ont y accède de chez soi (ou de tous autre endroit car il est vrais qu'actuellement, il est aisé de se connecter presque  partout car internet est presque omniprésente), on peut cependant discuté avec n'importe qui, comme on le ferais dans un espace public type tel que la rue. De lus, les discussions et autres échanges de connaissances se font au yeux et au su de tous.

 Un autre style de statut pose problème. Il s'agit de savoir si ces sites relève du virtuel ou du réel.Certes, on y accède par une interface virtuel (à partir d'un ordinateur, d'un portable, d'un PMA...). Mais cela serait certainement réducteur. Car s'il on part dans cette direction, on  se heurte à un obstacle: Virtuel signifie réalisable, possible, il s'agit d'un acte en puissance hors, ici ce n'est pas le cas car les articles paru sont belle et bien écris, et cela avent même que  vous ne vous rendez sur les site. Ou en se qui concerne les forum, votre question, tous comme la réponse que vous obtiendrez seras le reflet de la réflexion d'une personne, personne qui à écrit réellement.                    

En effet, on se rend compte qu'une page internet n'est pas seulement un codage produit par une machine, elle reflètent les propos d'une personne bien réel qu'en à elle.

On peut donc dire que si dans un premier temps, on définirais ce genre de site comme une chose à la frontière entre public/privé et virtuel/réel; il reste cependant plus probable de les classé en tant que public et réel.

A présent, que leur genre est définie, questionnons-nous sur leur véritable intérêt. Que peut-on en retirer de plus que les autres médias? 

Il est claire que le forum à avant tous un attrait social. 

A l'instar des lettres envoyer par voie postal, les forum permettent de communiqué avec des personnes très éloigné. Là ou il les dépasse c'est qu'il permet ce rapprochement social de manière quasi instantané, permettent ainsi une véritable discutions. De plus, là ou les lettre permettait la relation entre deux personnes bien définis que qui se connaissaient, les forum eux, permet de discuter avec non seulement plusieurs interlocuteur mais également entre des individu qui ne se connaissaient pas évidement. N'importe qui peut s'adresser à n'importe qui et une personne peut poser une question ouverte auquel répondra une autre personne ne le connaissant ni d'Ève, ni d'Adam et se trouvant géographiquement très éloigné. D'une Manière plus extrême, on peut citer le cas d'un homme, un écrivain ayant dépeint la mafias italienne dans ces détail les plus gênant. Sa sécurité l'exigent, cet homme fut mis sous protection policière et obligé de changé d'habitation régulièrement. Cet homme à avoué récemment que internet (et ses forum) avait sauvé sa vie social, lui permettant de dialogué avec des personnes et l'empêchant ainsi de plonger dans une dépression et un replie social.

Outre cet intérêt social, nous pouvons en constater un autre de taille, peut-être même, plus intéressant sociologiquement. A une époque ou tous service, information, culture... sont payant (livres, cours...) les forums et autre site de partage de connaissances ont instauré une véritable petite révolution. Enfin les hommes réapprennent à communiquer de manière non intéressé financièrement, simplement par la soif et le partage de connaissances.

Ces sites permettent la recherche d'information ou renseignement plus aisé. Par exemple, en cas d'achat, si quelqu'un désir s'acheter une caméra, il pourras demander l'opinion, les renseignement de plusieurs personne, lire des articles ou parler à des spécialistes qu'il n'aurais pas pu rencontrer personnellement. Cella permet également une certaine démocratisation et simplification des partage de connaissances entre les personnes. Et ainsi rendre plus aisé l'apprentissage autodidacte (grâce aux tutoriaux, au fichier open sources au site de partage de connaissances...).  Par ailleurs, pouvant ainsi multiplier les différentes sources d'informations, une personne peut développé sont point de vue critique car il ne faut pas oublier que tous articles reflète le point de vue spécifique d'une personne et en ayant accès à plusieurs point de vue, cella nourris la réflexion et sa propre opinion.

Malheureusement, mais cella est effectif depuis les début d'internet, tous ces avantages sont soumis à une condition: la gratuité d'accès, assurant une large diffusion des connaissance. Ce qui fait la beauté de la chose, car la connaissance n'avait ainsi plus de parasite crée par l'envie du profit mercantile ou autre profit sous-jacent lié à l'intérêt de l'argent. Les homes avait réussi une manière d'apprendre et de communiquer de manière tous à fait libre. Mais cella reste une utopie menacer par l'incessant « effet yoyo » entre le gratuit et le payant (accès au site payant, rémunération de service...) persiste depuis le début d'internet. Par ailleurs, moins connu mais de plus en plus présente, une censure internet lime de plus en plus la liberté d'expression des internautes. 

-LOUIS  Laëtitia-   

Mince est la frontière qui sépare la fiction du réel. C'est d'autant plus vrai en ce qui concerne le Cosplay. Comprenez ici Cos (costume) et Play (playing). Cette pratique consiste en quelques mots, à jouer le rôle de son personnage préféré. Qu'il soit issu de manga, d’animation japonaise, de film ou de jeux vidéo, les Cosplayers redoublent de créativité pour imiter au mieux leur héros favori.

Cette pratique attire de plus en plus de personne que ce soit dans le pays qui l’a vu naître, à savoir les États-Unis, qu’aux Japon ou en Europe.

Mais en quoi cette pratique constitue t-elle un élément intéressant à notre réflexion sur la frontière entre espace privé et espace public ? Est-ce là simplement un banal Mardi-gras ? Et où se trouve ladite limite entre l’espace privé, c’est-à-dire l’individu qui prend l’initiative de se déguiser, et l’espace public qu’est la société dans laquelle évolue le Cosplayer.

C’est devant son écran ou son manga que débute le processus constituant les premières pierres de « l’ édifice » Cosplay. L’individu se projette dans l’univers fictif où évolue son personnage et de ce fait il se crée une nouvelle identité et un monde tout autant subjectif qu’imaginaire. On peut même remarquer pour les plus « addicts » une persistance de la fiction dans la réalité ce qui entraîne des troubles de l’identité. En effet, l’identification est telle que même une fois l’écran éteint ou le livre refermé, le Cosplayer évolue encore dans un monde subjectif à travers son « avatar ».

Ce comportement se traduit de différentes manières selon le degré d’addiction, mais aussi et surtout selon l’individu concerné. En effet, le cosplayer, en recréant le costume de son héros, va en quelque sorte « prolonger » l’expérience filmique, ou vidéo ludique à laquelle il a précédemment pris part en rentrant physiquement dans la peau de son personnage. C’est là que s’entrecroisent fiction et réalité. Il évolue dans le « monde réel » tandis que son esprit reste très largement influencé par la fiction. De ce fait, il agit différemment, se déplace différemment, s’exprime différemment pour imiter son avatar du mieux qu’il peut. 

Des rendez-vous et salons permettent aux pratiquants du Cosplay d’exhiber leur passion pour tel ou tel personnage fictif comme par exemple le TGS (Tokyo Game Show), 2^ème plus célèbre salon de jeux vidéo au monde après l’E3 (situé à Los Angeles). Il n’est pas question de concours et il n’y a rien à gagner. Les cosplayers « s’affichent » purement et simplement. On observe ici un premier franchissement de cette frontière entre le public et le privé. Dans ce genre de rassemblement, ces individus sortent de leur « petit monde » et s’invitent dans cet espace public que représente par exemple le TGS ou le WCS (World Cosplay Summit).

Ils ne se présentent pas sous leur vraie identité mais sous les traits d’un personnage fictif.

Le comportement d'un cosplayer peut également se traduire d’une manière bien moins ludique. En effet, dans certains cas, cette pratique devient extrême et on peut assister à de réels drame qui ne font qu’alimenter la polémique du Cosplay. Par exemple, il y a de cela quelques années, les télévisions du monde annonçaient la mort d’un jeune garçon, lequel était déguisé en Superman. Il apparaît que cet enfant avait en réalité sauté du haut de son immeuble, croyant que son costume lui confèrerait les mêmes pouvoirs que son super héros. Pire encore, on se souvient du massacre de l’université de Columbine dans le comté de Jefferson, dans l'État du Colorado, aux Etats-Unis. Perpétrée par deux adolescents, Eric Harris et Dylan Klebold, la cause de cette tuerie scolaire reste pour beaucoup de personnes l’intérêt que portaient les deux adolescents pour les jeux vidéos violents (Grand theft auto). Les deux criminels avaient fait irruption dans le lycée armés jusqu’aux dent et habillés comme des personnages de jeux vidéo.

Dans les cas qui précèdent, la limite entre le public et le privé est clairement franchie. La violence virtuelle est transposée dans la réalité via cette image « préfabriquée » de gangster armé et dangereux qu’ont voulu reproduire ces deux jeunes américains en s’habillant de cette façon.

Comme nous l’avons vu, la frontière entre le public et le privé dans la pratique du Cosplay s’illustre essentiellement par cette exhibition ainsi que ces questionnements sur l’identité.

FOREL Jean-Baptiste

Imaginons le web lors d’une grande garden party. Un jour de fête avec son ambiance feutrée, ses costumes repassés et ses blagues convenues. La belle famille réseau social grandiloquente veille sur les petits fours, les blogs pique-assiettes ramassent les miettes tandis que les moteurs de recherche hautains tiennent jalousement le service. Tout se déroule pour le mieux mais il y en a un qui se cache dans le fond. Le vilain petit canard de la famille roule bourré sous les tables, 4 Chan est arrivé.

Pour comprendre 4Chan il faut se mettre dans la peau d'un ado pré-pubere devant un magazine Playboy. Il soulève les jupes des filles, rit grassement des blagues bêtes et méchantes de ses potes qui ne relèvent pas le niveau bien plus haut que le cou d'une girafe morte.


Une fois les conditions réunis, on peut se lancer sereinement sur le plus grand imageboard du net. 2 700 000 visites par jour, une renommée mondiale et une communauté hyperactive. Alors pourquoi si peu de visibilité ? Simplement parce que le truc de 4Chan c'est le détournement d'image, le hacking, le lol mauvais esprit (lulz) et les photos non safe for work trash à en vomir.

4chan est composé d'une communauté majoritairement masculine possédée d'une vision du monde particulièrement étriqué. Il suffit de faire un tour sur le site pour comprendre qu'ils possèdent malgré tout une force créatrice névrosé. A coups de références obscures et quelques retouches gratuites, le site a su imprégner ses références au grand public sans qu'il ne s'en rende compte lui même. Les lolcat, les demotivational posters, le fail ou encore le rickroll sont des « memes » qui ont tous émergés depuis 4Chan. L'anonymat total de l'utilisation du site permet d'aborder tout les sujets sans aucune retenue et de tomber dans tous les travers.

auto-dérision ?

4Chan est donc une énorme fourmilière prête à exploser à tout moment dans l'engouement un brin hystérique et les exemples sont légions. Entre le hack du compte mail de Sarah Palin par un channeur un peu plus malin que les autres (qui permit de comprendre que la madame n'utilisait pas sa boite mail que pour des échanges personnels) ou le trucage du sondage du Times il y a des évènements qui tendent à s'interroger sur la dangerosité de ce système.

Le 15 février 2009, deux crétins se filment en train de tabasser un pauvre chat et postent la vidéo sur youtube. Malheur à eux, la communauté 4Chan vénèrent les chats et lorsque la vidéo tombent entre leurs mains c'est une véritable guerre qui s'ouvre. En l'espace d'une petite journée ils retrouvent les coordonnés du gamin avertissent les autorités et font arrêter le suspect avec un flot de menaces de représailles conséquent sur la boite mail de l'intéressé. Ok, il faut admettre que justice fut faite. Mais tout de même, l'arme 4Chan est entre les mains d'une bande de gamins irresponsable et les dégâts qu'elle peut produire, le désordre dont elle est capable et son influence générale en fait un lieu sensible du web.

Car aucun d'entre nous n'est aussi cruel que nous tous. Brrr...

Que peut-on tirer de tout cela ? On comprend que le web sous des circonstances exceptionnelle et avec l'aide d'un foule galvanisé par la même culture underground est capable d'agir dans un but commun. Jusqu'à aujourd'hui les événements apparus n'ont finalement réussi qu'à créer un désordre sans nom. L'avantage d'agir anonymement est également une faiblesse, sans leader établi il devient difficile de fédérer durablement une communauté. En contrepartie sur des actions à courte portée et sans embranchement complexe le système fait des merveilles. La marge entre blague potache et activisme est mince sur 4Chan, celui qui saura jongler avec à son avantage n'est pas forcément très loin...

R.H

Le monde virtuel occupe une place de plus en plus prégnante dans notre quotidien.

Réseaux, Jeux, hébergeurs multimédia. Des espaces d'affirmations utilisés par une foule d'anonyme en quête de reconnaissance. Comment cet espace aux limites floues est-il utilisé, manipulé par son public ?

Inversement, comment la toile affirme t'elle sa personnalité dans notre espace réel ? Quelle est sa portée, son influence, ses travers et ses qualités ?

Dans ce jeu de miroir c'est une frontière qui s'efface.

C'est ici que ce situe la bordure.

En plus le petit chat est mort.